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Les programmes de transition, à l’intention des technologistes de laboratoire médical formés à l’ét

 
avril 27, 2010

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

HAMILTON, ONTARIO (le 22 avril 2010) – Un rapport récent produit par la Société canadienne de science de laboratoire médical (SCSLM) fournit pour la première fois la preuve manifeste que le financement soutenu des programmes de transition à l’intention des technologistes de laboratoire médical formés à l’étranger (TLMFÉ) représente une bonne politique financière.

Le rapport, «Les programmes de transition à l’intention des technologistes de laboratoire médical formés à l’étranger : une analyse de rentabilisation» a été subventionné par le Programme canadien de reconnaissance des titres de compétence étrangers. Sous l’égide du Centre for Spatial Economics et rédigé par la professeure Moira Grant, Ph.D., directrice de la recherche de la SCSLM, le rapport a conclu que les programmes de transition permettent aux TLMFÉ d’obtenir plus rapidement la certification canadienne, ils diminuent leur fardeau financier et accélèrent leur intégration dans le milieu de travail des laboratoires canadiens. En conséquence, les TLMFÉ contribuent à l’économie canadienne beaucoup plus rapidement lorsqu’ils bénéficient de l’appui d’un programme de transition.

Christine Nielsen, directrice générale de la SCSLM, précise en ces termes : «il ya une pénurie croissante de technologistes de laboratoire médical au Canada, et nous recevons annuellement, de façon constante, environ 600 demandes d’immigrants qui s’identifient comme étant TLMFÉ. La pratique de la science de laboratoire médical varie à travers le globe et au Canada, tous les praticiens doivent satisfaire aux exigences rigoureuses du permis d’exercice, en vue d’assurer en tout temps la sécurité du patient. Il est essentiel de pouvoir compter sur un système accessible, abordable et fiable, qui permet une formation additionnelle ou l’exercice de la profession dans le contexte canadien».

La SCSLM est l’organisme de certification des technologistes et des adjoints de laboratoire médical et l’association nationale des professionnels de laboratoire médical du Canada. À l’exception du Québec, les TLM de toutes les régions du Canada doivent détenir la certification de la SCSLM pour exercer leur profession. Tania Toffner, directrice de la certification et de l’évaluation des connaissances acquises précise en ces termes : «La SCSLM effectue une évaluation des connaissances acquises (ÉCA) et procède à l’examen des titres de compétence et de l’expérience de travail des TLMFÉ, afin de déterminer s’ils sont admissibles à l’examen de certification nationale de la Société. Plus de 90 % parmi plus des 300 TLMFÉ qui présentent annuellement une demande d’évaluation ÉCA ne possèdent pas d’équivalence aux normes canadiennes.» La SCSLM fournit aux TLMFÉ un plan d’apprentissage ainsi que des cours pour les aider à combler leurs lacunes afin de réussir l’examen. Depuis l’an 2000, environ 750 TLMFÉ ont été certifiés par la SCSLM.

Ce rapport conclut que le soutien des TLMFÉ par le biais d’un programme de transition subventionné aborde les défis d’allocation en matière de soins de santé et la nécessité d’un traitement équitable pour les professionnels nouveaux venus au Canada, avec l’espérance d’un emploi dans leur profession.

Les TLM fournissent des données diagnostiques des analyses de sang et de tissus organiques, ce qui représente plus de 85 % des décisions concernant le diagnostic et le traitement des patients. La technologie de laboratoire médical est la troisième profession de la santé en importance au Canada.

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Pour de plus amples informations, communiquez avec :

Christine Nielsen
Directrice générale, SCSLM
1-800-263-8277 poste 8684

Tania Toffner
Directrice, certification et évaluation des connaissances acquises, SCSLM

 

Reconnaissance des terres autochtones : Nous reconnaissons respectueusement que le bureau de la SCSLM, à Hamilton, en Ontario, se situe sur les territoires traditionnels de la Confédération de Haudenosaunis de la Nation des Mississaugas, des peuples Anichinabés, et des peuples Neutres. Ces terres sont régies par le Pacte wampum dit « Bol à une seule cuillère », un traité entre les Haudenosaunis et Anichinabés pour partager et entretenir la terre et ses ressources autour des Grands Lacs. Nous reconnaissons également que ces terres sont régies en vertu du Traité no 3 d’Achat entre les lacs de 1792, conclu par la Couronne et la Première Nation des Mississaugas de Credit.

 

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